Dommage ! Ca aurait été bien intéressant, vu ce que cet arbre supporte chaque année ! Bon maintenant il faut que les fruits soient bon pour les semis aussi, on verra au printemps prochain !maya a écrit :Beau sujet !
Aucun lien entre la résistance d'un poncirus au froid et sa zone de culture. c'est sa génétique qui fait le job. Ceci dit rien n'empêche de semer des graines, bien au contraire.
Bonne idée ! Disons plutôt en début novembre, en prenant en compte le retard à l'allumage du climat locallouvigne a écrit :EricB bonjour,
si tu veux fin octobre on fait un échange avec des graines d'un PT de montpellier
! 
Que l'environnement influence le vivant, qui le nierait?Paf a écrit :C'est plutôt le fait que nous sommes de plus en plus sûrs que l'environnement influence le vivant.
Si la génétique donne un lot de cartes, l'environnement lui, modifierait à un moment où un un autre les règles du jeu (si tel ou tel caractère s'exprime ou non).
Le travail des soviétiques concernant les citrus n'est pas à mettre à la poubelle
Tout à fait. C'est le travail que fait par exemple Pascal Poot pour les semences potagères. Ses tomates poussent sans eau ni traitement. Elles ont passé plusieurs années. Il faut resemer d'année en année, même si la plante est malade. Les générations suivantes seront plus résistantes, jusqu'à être capable de ne plus être malade. En 3 ans on a déjà de très bons résultats.thechti a écrit :On peut supposer ques les graines issues de ce PT allemand seront capable de mieux supporter le froid (climat continental a priori) que celles que l'on peut planter par chez nous et issues d'un PT bien gaulois. Les dernières recherches en épigénétique montrent que c'est tout à fait probable. Maintenant, est ce que c'est mesurable ...