- aussi bien aux savants austères qu'aux cancres,
qui tentent dedécoincer les premiers de la classe...
Certains tentent de me me faire passer pour le roi de la vrille.
C'est trop d'honneurs, (en ce domaine comme dans les autres,
je reste un roturier, républicain et fier de l'être.)
Mais cette invective m'a stimulé et j'ai cherché à clarifier un peu
ce qui se cachait derrière la "vrille".
A la lumière d'une demi douzaine de cas récents, j'ai remarqué que le dérapage
trouvait souvent ses racines bien en amont du gros impact,
et que, assez fréquemment le déclencheur initial et le pourfendeur du délit
étaientt la même personne.
Une sorte de pompier incendiaire...
Parmi les origines:
- - un long échange pontifiant dans lequel les protagonistes s'enlisent..
- une altercation violente qui s'éternise
- une balourdise particulièrement gratinée
- tous, cas où le lecteur lambda souhaite ardemment que cela s'arrête.
la vrille apparaît donc souvent comme une tentative, inefficace hélas,
pour faire cesser, par l'humour, une situation de gène.
Je demande donc un peu d'indulgence pour les pauvres vrilleurs,
doux rêveurs qui, n'osant pas dire clairement "arrêtez vos conneries"
tentent de botter en touche pour détendre l'atmosphère.
se non e vero, e bene trovato
