Ce matin, en ouvrant mes volets, j'ai vu deux petits titis (je n'ai pas reconnu l'espèce : blanc, gris, marron, et un peu ébouriffé, ils s'étaient pas passé le peigne dans les plumes) qui me nettoyaient les sarments de la treille. Je sais pas s'ils y trouvaient grand chose, mais si la vigne avait été traitées, soit ils se seraient empoisonnés, soit ils seraient partis manger ailleurs, ce qui autorise une future prolifération de bébètes sans prédateurs. Et en plus j'aurais pas été mis de bonne humeur de si bon matin !bouladou a écrit :Sans aller jusqu'à la lutte biologique intégrée, qui au niveau de l'amateur est surement encore peu accessible, parfois et certainement couteuse, peu évidente, si ce n'est impossible à gérer, avec les facteurs limitants que constitue le diagnostic et les moyens à mettre en œuvre etc....... Respectez les prédateurs/faune environnante est le premier pas comme le dit Eddy67!!!! rien de mieux que la biodiversité pour établir un équilibre....(la permaculture est un bon exemple de ce qui se fait de mieux je trouve..)...
En jardin pour un particulier, l'absence totale de traitement aide à l'établissement de la diversité et l'installation de prédateurs (oiseaux, hérissons ... ). On peut corriger par une lutte mécanique les éventuelles proliférations : éliminer les pucerons au jet d'eau, ramasser (et manger) les escargots ...
dd