Discussions autour des Micro organismes efficaces (EM)
Posté : 28 oct. 2015 22:45
La vie microbienne est sûrement plus difficile à gérer en pot. Néanmoins, les EM (micro organismes efficaces) peuvent à mon avis beaucoup aider, et même faire plus qu'aider. Mon expérience sur les plantes potagères m'ont montré qu'un pourrissement par exemple peut-être contrecarré de manière radicale avec des EM (par exemple des plantules de melon sous serre qui pourrissaient, à qui il ne restait que 2 feuilles à moitié pourries. En pulvérisant des EMa - à disons 20 % -, la pourriture est stoppée, les partie pourries sèchent, et le plan repart dés le lendemain). J'ai pour ma part rempoté mes agrumes en mettant de la poudre de céramique EM autour de la motte d'origine. J'espère ainsi éviter de manière durable tout phénomène de pourrissement. Je ne peux cependant pas faire d'affirmation définitive, puisque je n'ai aucun recul. Je débute. Je teste.
L'avantage des EM c'est que c'est "bio". Et je conseille fortement d'essayer cela avant de recourir à des solutions chimiques, car encore une fois j'ai déjà constaté des résultats formidables. On peut même en boire (c'est bon pour la flore intestinale). L'inconvénient, c'est qu'il faut aller chez le marchand. Mais c'est une des rares exceptions que je fais à mon principe de rester indépendant et de me débrouiller avec les plantes autour de moi.
Sachant que de toute façon, le phénomène de pourrissement qui serait inhérent à certains agrumes selon certains, est selon moi dû à une dégénérescence de l'ADN des plantes, et non à une sorte de faiblesse structurelle - génétique quoi. Je crois qu'en resemant (sur plusieurs générations de fruit si nécessaire), on regénère l'ADN, qui apprend à ne plus pourrir et à ne plus tomber malade, car il s'adapte aux nouvelles conditions de culture et au nouvel environnement. Imaginez que je cultive en Suisse un agrume qui provient d'une souche qui au départ s'est développée en Espagne, et qui n'a fait qu'être multipliée par bouture depuis 30 ans ! J'ai juste un clone totalement inadapté... Avec le changement de climat (beaucoup plus humide), de structure du sol, notamment et surtout sa microbiologie, j'ai beaucoup de chance que ça pourrisse. Surtout que depuis 30 ans, il s'en ait passé des choses au niveau des dérèglements environnementaux. Multiplication de nouveaux champignons, apparition de nouveaux ravageurs, etc. Tout est chamboulé. Un exemple simple : ma mère qui cultivait ses tomates en Ile de France dans les années 80 n'avait pas de mildiou, sans jamais traiter. Tout ça pour dire, que traiter, c'est bien à court terme, mais à long terme, mieux vaut créer des souches résistantes et adaptées. C'est moins fatiguant ! Et évite d'utiliser de la chimie, ou même du bio payant...
L'avantage des EM c'est que c'est "bio". Et je conseille fortement d'essayer cela avant de recourir à des solutions chimiques, car encore une fois j'ai déjà constaté des résultats formidables. On peut même en boire (c'est bon pour la flore intestinale). L'inconvénient, c'est qu'il faut aller chez le marchand. Mais c'est une des rares exceptions que je fais à mon principe de rester indépendant et de me débrouiller avec les plantes autour de moi.
Sachant que de toute façon, le phénomène de pourrissement qui serait inhérent à certains agrumes selon certains, est selon moi dû à une dégénérescence de l'ADN des plantes, et non à une sorte de faiblesse structurelle - génétique quoi. Je crois qu'en resemant (sur plusieurs générations de fruit si nécessaire), on regénère l'ADN, qui apprend à ne plus pourrir et à ne plus tomber malade, car il s'adapte aux nouvelles conditions de culture et au nouvel environnement. Imaginez que je cultive en Suisse un agrume qui provient d'une souche qui au départ s'est développée en Espagne, et qui n'a fait qu'être multipliée par bouture depuis 30 ans ! J'ai juste un clone totalement inadapté... Avec le changement de climat (beaucoup plus humide), de structure du sol, notamment et surtout sa microbiologie, j'ai beaucoup de chance que ça pourrisse. Surtout que depuis 30 ans, il s'en ait passé des choses au niveau des dérèglements environnementaux. Multiplication de nouveaux champignons, apparition de nouveaux ravageurs, etc. Tout est chamboulé. Un exemple simple : ma mère qui cultivait ses tomates en Ile de France dans les années 80 n'avait pas de mildiou, sans jamais traiter. Tout ça pour dire, que traiter, c'est bien à court terme, mais à long terme, mieux vaut créer des souches résistantes et adaptées. C'est moins fatiguant ! Et évite d'utiliser de la chimie, ou même du bio payant...